Pensée du jour
Autres pensées
Julia Child
La vie est la plus belle des fêtes
Camille Hugues
Si tu veux que la roue tourne, il faut la pousser un peu.
Honoré de Balzac
Croyez-le, le véritable amour est éternel, infini, toujours semblable à lui-même ; il est égal et pur, sans démonstrations violentes ; il se voit en cheveux blancs, toujours jeune de cœur.
Tierno Bokar
Aimer inconditionnellement est l’activité la plus importante dans tout l’univers,
la plus apte à produire le bonheur le plus profond!
Nicolas Machiavel
Le monde fut toujours habité pas des hommes qui ont eu les mêmes passions.
Madonna
Chacun son karma, si on veut changer sa destinée, il faut être actif. En restant assis, la vie s’impose à vous
Zhang Xianliang
Le bonheur ne dépend pas de l’endroit où l’on vit, mais de la personne avec laquelle on est.
Bretrand Russell
Il vaut mieux viser la perfection et la manquer que viser l’imperfection et l’atteindre.
Félix Houphouët-Boigny
« Nous sommes tous solidaires du même destin, du destin de l’Afrique et si nous pouvons mener de front la lutte pour la paix à l’intérieur de nos pays, la paix entre nos pays, la paix entre nos pays et le reste du monde, alors nous aurons servi l’Afrique. »
Lao She
La vie est une œuvre que l’on crée à chaque instant.
George Meredith
Le manque de courage n’est qu’un manque de bon sens.
Proverbe Africain
Le bonheur ne s’acquiert pas, il ne réside pas dans les apparences, chacun d’entre nous le construit à chaque instant de sa vie avec son coeur.
Honoré de Balzac
« Le cœur d’une mère est un abîme au fond duquel se trouve toujours un pardon. »
Jacques Derrida
Possible ou impossible, le pardon nous tourne vers le passé. Il y a aussi de l’à-venir dans le pardon.
Bretrand Russell
Il vaut mieux viser la perfection et la manquer que viser l’imperfection et l’atteindre.
Kofi Annan
Les graines d’un vieillissement en bonne santé se sèment tôt.
François Marie Arouet dit Voltaire
Madame de la Sablière appelait La Fontaine un fablier, qui portait naturellement des fables, comme un prunier des prunes.
Pablo Neruda
Pour les rendre humains, les sculpteurs les ont dotés de plaies horripilantes et tout s’est transformé en religion du supplice, en pèche et souffre, ne pèche pas et souffre quand même, vis et souffre, sans que tu puisses trouver d’issue libératrice...